L’albâtre des lionnes
Aux seins protubérants
Dessine des amazones,
Silhouettes assagies
Et maîtres avilis
Par une foi profane
Comme diraient
D’aucuns prophètes,
D’aucuns nouveaux maîtres.
Dans l’axe du palais – Belvédère aux aguets
Perpendicularisent
Les gribouillis fulminants
Des modernes récits.
L’ondoiement étendu
A la voix Mouglalis
Convoque les récifs
Chants du crépuscule
Et des ciels fâchés
Réveil œufs brouillés.
LAUSHA
Fiertés nuancées
Penchent endroit
Figurine extasiée
Délices de fable.