C’était une nuit des sens où la nostalgie,
Et le désir étaient nés, nos cœurs affamés.
S’accéléraient au murmure de l’être aimé.
Nous avions rêvé, étions fondus : Deux bougies.
C’était un instant sauvage plein de magie,
Une page d’étonnement et de fumée,
D’un roman d’amour qui ne finira jamais,
D’une tendre plage de désir élargi.
C’était un moment de folie et d’énergie,
Une nuit sans pareil et ce n’était jamais.
Comme des nuits, c’était la beauté des sommets,
Où nous avons oublié l’ennui et l’algie.
Loin du bruit, de la souffrance et de l’orgie.
Tout est parti, il ne reste que quelques « mais ».
Que de regrets et un souvenir enrhumé.
Je n’ai qu’un vestige en fuite d’une effigie.
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Une nuit tout simplement inoubliable…
Merci cher Saber pour ce beau partage.
Bonne soirée.Mohamadine.
Le silence est tellement plus fort que les mots…
Joli souvenir d’une nuit qui n’aurait jamais dû finir …
douce journée à vous Saber.