Mon petit fils s’est endormi en tenant le monde dans ses mains et a rêvé d’un lendemain plus beau et plus paisible.
Mon fils a mis le doigt sur la carte du monde.
Différentes couleurs, lignes et formes rondes.
Le déplaçait tantôt à gauche vers l’ouest.
Tantôt à droite vers les mystères de l’est.
Le monde est sous ses beaux yeux et à sa portée.
Aller trop loin pendant les vacances d’été.
Un monde spacieux créé pour tout le monde.
Son petit monde, c’est ce qu’il veut et demande.
Il l’a regardé de près et m’a demandé.
À visiter les prés, les cités sans tarder.
Il a insisté que nous fassions plus d’un tour.
Portant des bouquets de fleurs parsemés d’amour.
Il ne s’est pas fatigué, a eu le courage.
Et a voulu continuer ce long voyage.
Alpiniste, ou errant entre vallées et villes,
Pas de passeport ni de frontières serviles.
Il m’a demandé de faire un tour pourquoi pas ?
Nos pas ne peuvent faire ce que font ses pas.
Le vouloir s’évapore, mais le sien est fort.
Nos ailes rouillées, les siennes battent encore,
Partir ensemble en Chine ou a Jérusalem.
Répandre la paix parmi la magie des poèmes.
Destin commun, sages solidaires, cœurs d’or.
Pas de différence entre le sud et le nord.
Vers la blancheur infinie et le ski au pôle.
D’un vol à l’autre… Cerf-volant et idées folles.
Dans les jungles d’Afrique et les souks du Maghreb.
La splendeur de Londres et la joie de Zagreb.
Une sortie avec nos amis indiens.
Dans les grands lacs et cascades canadiens.
Les îles du monde entre l’Indo Pacifique.
Japon technique et Madagascar authentique.
Aller aux pyramides, aux rives du Nil.
Visiter l’Argentine et le joyeux Brésil.
Des belles croisières entre archipels et îles,
Des balades routières reliant les villes.
Papa ! Ce monde est-il notre paradis vert ?
Je ne sais pas, mais il insiste avec colère.
Espérant oui… c’est ton univers, allez-y,
Profiter aussi des plages de Tunisie.
Aller loin dans l’horizon de la poésie.
Dans un monde plein de rêves en Malaisie.
Un regard sur l’Australie et ses attractions.
Ô, quelle fantaisie, quel plaisir et passion !
Dans son beau monde, je le laisse gambader.
Au milieu du vent et les moulins hollandais.
Entre l’arc, les musées et les parcs parisiens.
À chaque point, visant l’éclat vénusien.
les rêves des enfants sont les plus beaux …
ils nous entraînent dans leur innocence ….
laissons nous porter …..
belle journée à vous Saber.
Entrez le rejoindre dans le monde des rêves…