Un juillet,
Je t’ai connue au bal.
Tu étais toute mouillée,
Il avait plut pas mal…
Puis je t’ai invitée,
Et sans penser à mal,
A venir te sécher
Dans mon petit local,
Là où sont entassés
Bocal après bocal,
Mes confitures aimées,
Pour moi un vrai régal…
J’ai voulu t’embrasser,
Je trouvais ça génial,
Mais tu m’as balancé
Un regard si glacial,
Que j’ai vite préféré
Cesser cette cavale,
Et partir me coucher
En lisant mon journal.
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Je suis né en 1956, et ai toujours eu le goût pour l’écriture.
Cependant je n’ai fait aucunes études , ni de lettres ou autre chose de bien gratifiant.
Je n’ai qu’un CAP de mécanique en poche et ma vie passée en usine , ma famille avec mes trois enfants, font que depuis ma retraite, j’ai repris du temps pour me consacrer aux mots.
On pourrait dire de moi que je suis plutôt un autodidacte.
Les quelques personnes à qui je fais lire mes textes me disent que j’ai une facilité d’écriture.
A ceux-là je leur réponds: ”ce n’est pas toujours aussi facile qu’il y paraît… ” Et pour l’orthographe, et bien je révise les règles…Il n’est jamais trop tard si l’on veut entreprendre quelque chose dans sa vie.
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Que d’évènements à commémorer en ce jour bien unique de l’année.
Il t’en reste de la confiture ?
Douceur d’amertume…
Amertume de douceur…
On encaisse…en lisant son journal
Beau texte de poésie classique où générosité et ingratitude, amour mal négocié et mépris incompris se mêlent aux suaves sonorités des “al” et des “é” pour mèner la vie vers l’île de l’isolement et de la solitude. Salut, mon cher poète pour ce partage.
il s’en passent des choses un 14 juillet !
A lire.. Un 14 juillet.