La promenade de la mort – Laurelise Chalzib

La promenade de la mort      Laurelise Chalzib

Il était une fois une ville, Ma ville

Celle que je connais par coeur, ses odeurs

Ses persiennes qui protègent de la chaleur

Ses bougainvillées qui tissent des arabesques sur les murs bariolés

Cette ville aux abords de la mer non loin des sommets. Stimulante, vibrante, incandescente…..

Je te chéris depuis toujours et suis poète

Parce que Niçoise …….

Alors cette déambulation sur l’avenue du désastre,

Ce bouquet de tournesols et oeillets rouges consenti

Me laissent désemparée , en deuil , en feuilles morcelées,  en larmes Majeures.

Ma chère ville , mon coeur bat au rythme

De tes artères massacrées, de  ta peau désintégrée

Il y a tant de galets porteurs de mots, de pétales d’anges, de contours sacrés,

Qu’ici l’amour est roi , les gens sont fou d’entraide

La chaîne signifiante permet, 0h puissance 10000

De sublimer l’horreur, le Deuil, le désespoir

Ce poème n’a pas de fin , il est pareil à mon chagrin

Qui pour l’instant est sans limite.

      Sieu Nissa 

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1 Commentaire
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Invité
19 juillet 2016 0 h 03 min

Oui, c’est beau ce que tu dis . L’ignorance est mère de la haine, de la violence , de la folie . Continuons nos lumières et sans cesse remettons notre prose sur l’ouvrage . Mais là à cet instant je suis découragée : le bilan est très très lourd, le massacre palpable , les endeuillés dans une douleur extrême, pour RIEN . Il faudra du temps beaucoup de temps pour que ce lieu de l’insouciance retrouve pour nous une ébauche de sourire …..,