
La Mer
Le matin à cinq heures 
La mer effleure 
Les corps encore enlacés 
Des amants épuisés
Quand le soleil décline 
La mer câline 
Les enfants sans toits 
Que personne ne voit 
Les jours d’orage
La mer soulage
Les cœurs délaissés 
Perdus dans ses flots déchaînés
En hiver
La mer
Sous des vagues profondes
Cache son âme vagabonde
Très beau poème qui rend la mer encore plus belle et qui me laisse rêveur.
Merci à vous cher ami Michel et bonne soirée.
Joli voyage iodé…
Merci pour ce bon moment aquatique Michel !
J’aime beaucoup le style et vos mots simples qui reflètent parfaitement les sentiments avec de beaux clichés.
Au plaisir de vous lire à nouveau.
Alain