C’était une fille des sables
qui un jour croisa mon chemin
et ravit mon cœur,
tout en le faisant battre à la chamade.
elle était belle et chaude,
avait un regard profond
qui faisait des hommes les plus durs
des pantins désarticulés.
C’était une fille aux sangs mêlés
provenant des pays du Sud
aux petits seins ronds et fermes
avec la sensualité des filles du Sud.
elle s’appelait Lumière et rencontra les ténèbres
pour lui donner un peu de sa clarté.
Une fille d’amour qui faisait fondre
les cœurs des hommes même les plus secs.
ils se sentaient perdus
quand elle disparaissait
pour découvrir d’autres horizons
et que son amour flétrissait.
C’était une fille du Sud,
Un tsunami qui emportait tout
sur son passage
cœur et sentiments.
Elle s’appelait Lumière
Et quand elle disparaissait,
revenaient la pénombre
et l’effondrement.
Tel un tsunami, elle continuait sa route
Sans jamais se retourner
Diffusant l’amour par sa présence,
semant le désarroi par son départ.
C’était une fille du Sud.
Un jour je l’ai rencontrée,
le tsunami a marqué une pause
et mon cœur est en émoi
Eric de la Brume
Le 28 avril 2016
Quelles beaux mots pour cet élément déchainé, sublime.
mais, oui, c’est de la poésie, et de la belle poésie qui parle d’amour, de lumière et de ténèbre… que serait la lumière sans les ténèbres ? bravo Eric, j’aime ce texte ! Bonne journée