J’accuse tes yeux de ne pas m’éclairer
J’accuse tes doigts de ne pas abuser
J’accuse tes bras de ne pas m’enserrer
J’accuse tes traits d’être trop fatigués
J’accuse ton rire de vouloir tout masquer
Mais quand la plume fatiguée
Je me retrouve allongée
Accolée à ton dos retourné
Vers la lune éclairée
Oui je me sens apaisée