J’aimerais ,oh combien, m’envoler librement
Me soustraire,de cette ennuyeuse routine
Où tous les jours,ce ressemblent étrangement
Sans la moindre surprise ,que l’on ne devine
Quelle étrange et détestable sensation
Avoir l’impression,que tout est orchestré
Faire notre travail,avec dévotion
Et dans le même moule,nous y voir rentrer
Je voudrais fuir,tout ce monde de turpitude
Qui apparaît surtout motivé,par l’argent
Et nous maintien,dans un état de servitude
Aux mains bien aiguisés,de nos grands dirigeants
Dans la continuité,des décennies passées
Qui privilégiaient l’individualisme
Qui creuse,chaque jour,un peu plus les fossés
Au détriment, semblerait-il,de notre altruisme
J’aimerais,oh combien,m’envoler librement
Telle une plume légère,qui virevolte
Se laissant emporter,avec amusement
Dans une valse,sans aucune fausse note.
Bonsoir Matteo
Un beau texte léger et pourtant les mots ont un sens fort épris de liberté dans ce monde prisonnier dans son coton routinier
Amicalement
Béa