Mon regard fixé vers cette étoile, ce carat qui traverse cette nuit mélancolique pour atteindre mes yeux.
Noyée l’étoile par une masse nuageuse, campée entre nous.
Me voici figé à quai, impuissant face à ces courants brutaux, éloignant la pépite vers des flots obscurs.
Le nuage éclata en pluie pour m’inonder de larmes sur mon visage.
Me voilà submergé, happé vers ces flots de courants brutaux m’arrachant du chagrin.
Guidé vers l’étoile plus brillante que le far, navigant au travers des flots de flambeaux.
Guidé, comme décrit dans ce bel écrit, l’auteur ne risque pas de se perdre ! Merci, Franck, pour ce beau partage !