Soleil et herbes bien blanches
S’offrent à l’hiver fléchissant
Tes mains pèsent sur mes hanches
Encore un peu frémissantes
Par la fenêtre entr’ouverte
Nous vibrons au même chant neuf
D’un monde en nous encore si vert
Qu’on pourrait croire au coup de bluff
Si ce n’est cette sérénité
D’un temps dépourvu d’emprise
De jours dénués d’éternité
De secondes qui, là, s’enlisent
l’éternité est contenu dans ces instants magiques ou nous ne vivons que de présent, sans passé ni avenir. Instants trop brefs, pont entre hier et aujourd’hui que nous alourdissons sans cesse de regrets et de craintes. Merci Martine pour cette belle passerelle où je m’attarde pour m’alléger.
Bonsoir Martine, Pur bonheur, une telle fraicheur, ne peut que nous faire du bien !
Je tiens à vous remercier de votre commentaire. Le monde ne vie que d’espoir, chacun attend le jour si attendu..! Amitiès