Même si la distance nous sépare,
Notre amitié ne s’égare,
Et rien ne nous accapare,
Au point de n’avoir plus d’égards.
Je remercie le hasard,
De nous avoir réuni par l’art,
Car entre nous c’est du caviar.
Il n’y a jamais eu le moindre écart,
Ni même de rempart.
Erigé pour les racontars,
Qui ne font que mettre le bazar,
Avec leur grand char,
Rempli de bobards,
Qui ne mène nulle part.
Car notre amitié est sans tare,
Aucune ombre dans le placard:
Comme se sentir superstar,
Ou d’agir comme les loubards,
Qui à l’instar, des couguars,
Te guettent pour une part.
J’espère un jour croiser ton regard,
Peut importe qui prendra le départ,
Mais te connaître c’est déjà un nectar.
Toi mon cygne, l’étendard,
De mes poèmes sans fards.
© Ketty Platon – 06/03/2018
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“Toi mon cygne, l’étendard,
De mes poèmes sans fards.”
Belle métaphore du cygne, oiseau gracieux, fidèle qui représente bien l’amitié. L’amour stable. L’alliance.
Ici un autre texte des vôtres que j’apprécie.
Merci, Ketty.
Original et très inspiré!
Un texte recherché et bellement signé!
Merci Ketty.
Adrien.