Elle est toutes les femmes,
Et jusque dans le drame quand elle verse des larmes
Là elle vous désarme, dans la douleur qu’elle clame
Elle garde tout son charme, c’est cela être femme.…
Elle brille comme la flamme qui vibre dans son âme.
Elle, en fleur épanouie qui toujours vous réjouit
Elle danse et elle sourit elle brûle de tant d’envie
Si parfois elle s’enfuit c’est qu’elle craint la folie
De l’homme bien trop épris de lui et de sa vie.
Toutes les femmes en elle sont comme des étincelles
De beaux rêves éternels pour les hommes infidèles,
Image sempiternelle d’une femme sous son ombrelle
Ce chant émotionnel que porte l’homme sensuel.
Elle, tendre épouse et mère lutte contre l’éphémère
Des amours adultères qui lui font des misères,
Elle, source de lumière pour l’homme qui se perd
Elle, dont l’amour éclaire dans tous les univers.
Femme jusqu’au bout des doigts femme d’amour ou de joie
Elle, qui a quelquefois mal d’un tel manque de foi,
Femme qui renvoie parfois, l’homme à ses propres choix
Femme qui toujours y croit, femme au doux cœur de soie.
Femme le dire bien haut femme en toi tout est beau
Avec toi bien au chaud femme la vie porte haut,
Tes cris et tes cadeaux tu les offres d’un mot
Femme, l’amour en écho femme c’est toi le héros.
Régina Augusto Auteure.
Texte protégé.
Félicitation, Régina, pour ce beau poème! La Femme y pèse de tout son poids: “femme” est répété 14 fois et son substitut pronominal (elle) 17 fois. La femme représente bien l’Aile essentielle de l’homme. Elle n’est pas seulement source de vie mais la Vie elle-même. Arriverait-on à comprendre qu’il est impossible à la société d’assurer sa survie sans la femme? Il n’y a que la femme qui peut comprendre la femme et accéder à son intimité.
Merci, Regina, pour ce beau partage que j’ai lu et relu avec le même plaisir.. Ceci dit, je partage l’avis de Véro : il y a femme et femme : l’une comme l’autre ont fait un choix. A elles d’assumer leur choix !
Merci Regina pour cette hymne à la “femme éternelle”, femme que malheureusement certaines femmes tentent de détruire aujourd’hui’ dans le but de devenir ” comme les hommes”. Quelle folie ! Egales en droits, OUI, mais pas semblables, par pitié !