Des mon année de terminale, j’ai retenu deux citations célèbres.
Une du cours de philosophie venant des méditations de Descartes : « Le bon sens est la chose au monde la mieux partagée ». J’y ai de moins en moins cru accordant d’avantage de foi à la citation du cours de Français qui était une pensée de Pascal : « Tous les hommes recherchent d’être heureux…
jusqu’à ceux qui vont se pendre ».
Nous souhaitons tous être heureux et même joyeux et ne jamais souffrir, sinon le moins possible.
Comment procéder me demanderez-vous ?
Je répondrai que, pour y parvenir, nous devons premièrement prendre conscience de ce désir profond et permanent de bonheur et ensuite nous connecter en nous aux sources de notre bonheur après les avoir identifiées. Ainsi nous nous attacherons au causes du bonheur et éliminerons soigneusement les causes de souffrance.
Hélas, la majorité des gens attribuent les causes de leur difficultés à des instances extérieures, aux autres personnes principalement. Bien évidemment, il existe des causes extérieurs, mais la souffrance doit-être attribuée en premier à des causes intérieures. Qui choisit d’adopter un état d’esprit positif ne dépendra plus des éléments extérieurs pour rester dans le bonheur et la sérénité et ainsi repousser la souffrance. Ces éléments extérieurs ne pourront plus nous affecter.
Cela suppose un travail sur soi comme celui que propose la pratique bouddhiste qui nous apprend à discerner les causes et leurs conséquences (positives, négatives et neutres). Il s’agit ainsi d’affaiblir dans notre esprit tout ce que nous aurons identifié comme cause de souffrance et d’affaiblissement de notre paix intérieure.
Parallèlement, notre esprit développera les expériences favorables au bonheur et à la sérénité. En d’autres termes, il s’agit d’adopter un mode de perception qui soit le plus proche possible de la réalité. Tout les reste est dans la subjectivité, pour ne pas dire dans l’imagination. Comme le dit l’une de mes chansons, “ne cherchons pas le bonheur trop loin, il est tout entier entre nos mains, sagesse que les années apprennent, loin des peurs de l’imagination qui du présent n’a plus la passion et noircit notre ciel intérieur”.
Le bonheur il faut le trouver ! qui cherche trouve, bonne déduction cher poète.
Mais .. il est si dur a trouvée !! Une belle journée je te souhaite cher poète 🌹😘
Isa 😘
L’amour, la joie, la paix sont innés alors que la peur, la souffrance s’apprennent.
Retourner dans la conscience de notre être, la présence à notre simple et pure “je suis” est notre nature profonde divine. Celle qui nous reconnecte à notre bonheur inné.