Sous la clarté de croissant lunaire, un mur abrite deux silhouettes dans un dessin animé, deux ombres, se déplaçant vers l’aurore d’un nouveau jour.
Deux ombres main dans la main; jalousement serrées.
Jour dans ses derniers espoirs, l’ombre face au mur regarde sont illusion sombre, seule, cherchant en vain une main à serrer.
Le vent souffle, l’ombre tend ses mains, mais ne peut saisir l’altruiste mouvement des airs.
La silhouette seule, se déplace vers sa solitude, sous le dernier souffle solitaire du vent.
Cette ombre que l’on suis si souvent
Tellement seule… de beaux mots que ceux-là.