Durant des années, au fond de moi, j’y ai cru.
Mais en ce beau dimanche, c’est dur. Je n’y crois plus.
J’étais trop naïve. Jusqu’au bout, j’ai espéré
Qu’enfin nous toutes et tous on se retrouverait.
Mais une simple conversation me l’a confirmé :
Il me faudra vivre loin de vous, désormais.
Qu’ai-je fait pour mériter ça ? Je ne le sais pas.
Alors que je vieillis, alors que pas à pas
Mes années s’envolent, revient la même question
Et qu’à chaque fois, je ne trouve pas la solution.
Peut-être qu’un jour, quand il me faudra partir,
J’aurai ma réponse. Elle aura tardé à venir…
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Bonjour,
Je m'appelle Odile et j'ai soixante-et-un ans. Je vis en Normandie, particulièrement dans le Calvados. Je suis mariée et j'ai deux grands enfants dont l'un m'a donné la joie d'être grand-mère de deux petits bonshommes : Ethan et Alexander.
J'ai commencé à écrire des poèmes à l'âge de seize ans et cela m'a beaucoup plu. Puis, petit à petit, j'ai continué à en faire. Etant sentimentale de nature, cela y a peut-être contribué. je ne sais pas. Mes sujets sont variés. Je les prends comme ils me viennent.
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Nous avons tous cru un jour à cette espérance. Belle soirée
La Vie à ses chemins mystères, qui nous détournent de ceux que l’on souhaiteraient prendre …
douce journée à vous.
Les déceptions ne doivent pas durer pas éternellement. Il y a toujoiurs un soleil qui brille au loin, de l,autre côté, pour nous aider à recommencer, à renaître. À la nuit succède le jour.
Joies suivent aux déceptions. Des jours meilleurs vont arriver, c’est une évidence .