Une brise légère
Caresse mon humeur
Le souffle de Dame Nature
Amène des brins d’apaisement
Au creux de mon visage
Je sens les balbutiements
D’un paradis sur terre
Balbutiant le silence
De la félicité
Les embruns océaniques
Embaume mon odorat
L’onctueuse fraîcheur
Me flatte et me berce
Dans l’océan ineffable
Des tendresses émerveillées
Caressant mes sensibilités
Avec les flots de l’ondine
M’aspergeant d’humanité
L’obscurité étoilée
Projette son ombre étincelante
Sur le monde de ma nuit
Mille regards m’observent
De manière étincelantes
Les prunelles nocturnes
scintillent mystérieusement
Sur moi l’être falot
Au profond de ma douleur
La couleur de l’azur
A mon âme se mesure
La profondeur du bleu
Attire mon regard
Vers les hauteurs infinies
Des joies céruléennes
L’esprit hypnotisé
Par la pureté azurée
Sommeille dans la béatitude
J’aime beaucoup tes mots et les images qu’il gérèrent.
Mais j’ai du mal avec le rythme de ce poème. Sans doute du fait de ma déformation qui me fait lire en recherchant la scansion, même sans la musique d’une chanson.
C’est d’ailleurs pour cela que je ne fais jamais de vers libres (je n’en ai fait qu’un seul)…