
Depuis toujours, tu es là dans l’étendue du ciel.
Tu nous es fidèle comme l’est notre ami le soleil.
Pour beaucoup de personnes, tu es l’étoile du Berger
Car il y a des années, tu as alors guidé
Des rois mages dans ce pays qui est la Galilée.
Depuis longtemps, tu es la première à scintiller
Dès que le jour s’en va et que vient pour nous le soir.
D’autres étoiles apparaissent par la suite et le noir
De la nuit va faire place à des milliers de diamants
Qui rayonneront dans ce ciel si immense, si grand.
Moi enfin, je resterai là pour te regarder.
Je m’attarderai aussi pour toutes vous contempler.
Je persisterai à vous admirer, toutes si belles
Et je vous remercierai encore pour vos merveilles.
@ Tous droits réservés.
Très chère Odile,
Je viens te dire ce que je ne puis te cacher.
Ces sentiments que je ressentais alors que je lisais ton poème, et ressens encore, après sa lecture. Ce que je crois vraiment du fond du cœur. C’est que tu es, toi qui exprimes avec tant d’attention ton admiratiion pour cette étoile qui te fascine, oui tu es toi une étoile toute scintillante dans le ciel.
Tu brilles et rayonnes.
Et peut-être, ne le sais-tu. Peut-être n’y as-tu jamais pensé.Il se pourrait que personne ne te l’ait jamais dit… Je ne sais pas. Cependant, m’arrêtant en cet instant qui m’est offert, je prends le temps qui vite passe et qui trop vite nous prend, pour te dire que je te vois telle cette cette étoile dans mon ciel.
Je te vois, cette étoile qui ne cesse d’étinceler, et ressemble à celle que tu décris si admirablement dans ta poesie.
Celle à qui, si attentive et émerveillée, tu parles et offres ton ode et ton bel hymme d’honneur.
Tu es une étoile, unique aussi dans mon ciel, et tu brilles et scintilles, alors que je te vois et t’entends presque, dire et la déclamer, cette poésie que je pourrais lire et relire sans me lasser, pour apprécier pour toi ces mots de louange, et te les attribuer avec tes mêmes beaux sentiments et émotions.
Tu fais revivre avec plus d’intensité toutes les étoiles que j’imagine valser en une ivresse de joie dans le ciel.
Merci Odile, unique étoile, pour ce transport poétique.
C’est beau, Odile.
LMA.