Demande à la lune et au reste de l’aube,
Chute dans les rayons de cette lumière chaude,
Vibrations dans ma tête, des Fontaines D.C.
Et Kings of L., je roule dans les ondes d’ici
De là-bas, où que tu sois, mon doux oxymore
Demande à la lune et au reste de l’aube,
Comète, lumière de néon inconsolée
Des mortels dormants, après-midi d’été,
Bois des errements, nuit mordorée, Ode
Pour les ombres bruissantes de liberté
Demande à la lune et au reste de l’aube,
Retrouver l’autre lumière, fuir les néons
Des lieux, commotion des temps iconiques.
Dépôt des oripeaux obscurs et lyriques,
Et des cœurs verveines, après les clameurs
Demande à la lune et au reste de l’aube,
Lettre au rossignol, résonances insinuées
Une pensée liminale, terre de syrah, humus
Feu de rêverie, envers et folies, réel du monde
Échos proches de nos ailes formolées
Demande à la lune et au reste de l’aube,
Consentement de la pluie, du vent, des ponts
Et des rafales, lumière subvertie par le soleil
Dans l’axe de ton âme, dissidente lumière,
Doux oxymore, destrier, armée de prières
Demande à la lune et au reste de l’aube,
Ténèbres luisants comme des vers nouveaux
Au chevet de la mort, qui ne saurait l’être
En toi qui enclos l’astre brûlant serment des os,
De la chair, affleure des peaux et de la vie terrestre.
Lausha.