Assis dans son fauteuil, sans un mot, sans un son.
Mon père, ce vieil homme plein de compassion.
n’est plus ce qu’il était, usé par le temps.
Il allait par monts et par vaux, secourir les indigents.
Dans la nuit, incognito jusque dans les bas fonds.
Heureux d’accomplir un acte bienveillant.
Lui, naguère enfant esseulé, pupille de la nation.
C’était juré de ne pas déroger à sa mission.
Veiller au bien être de ses compagnons.
Et devant tant d’admiration.
J’aimerais lui offrir une ovation.
Et pourquoi pas une distinction.
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©Zohra Missouri – 11/07/2018
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Merci pour cette belle introduction poétique !
Nous avons hâte de découvrir vos autres textes.
Bien à vous,
Alain