La nuit fait de moi son complice
Le temps, je le compte au bout des doigts
Ce n’est délibérément pas mon choix
De vivre ce supplice
Accroché au toit
Je me vois moi
Bien de moi je vois
Bien des choses j’aperçois
Ma pensée est au trot
Plein de moi de trop
Avec impatience j’attends l’alerte du jour
Ne m’en voulez pas si je ne suis pas à ce bon jour
En moi, la nuit abonde
Alors au beau jour ma colère vagabonde.!
Merci bien Hubert pour la visite. C’est bien vrai qu’on aurait voulu que la nuit soit le repos du guerrier mais lorsqu’elle est agitée la colère vagabonde le jour!
Merci Brahim pour le commentaire. Après l’obscurité, jaillit la lumière!
Le jour la colère vagabonde afin que la nuit soit le repos du guerrier.
Merci, cher ami, pour ce partage décrivant une situation que tout être humain connaît pour l’avoir traversée ; mais après l’obscurité, jaillit la lumière !