C’est dans la pudeur de tes yeux que je me suis dévêtue.
Dans le creux de tes mains que je me suis devinée.
Et ton âme miroir à reconnue sans fin,
Le silence de ma bouche, muse de satin.
Je trouve un amour, escarpé sur ton chemin.
Cœur béton en passoire,
Nids de poule je déverse mes larmes goudron noir.
Noir de couleurs recouvre mes reins.
Pris mes escarpins soulevant ton air de m’aimer
Soudain pour aller plus vite s’envoler demain où tu me retiens.
J’écris de mes griffes, sur la hauteur de ta page.
Au-dessus de moi un voile danse dans les nuages.
Je crois que je suis-toi, mon pilier en courage,
je crois tu es mon toit, silence nocturne en tapage
fou. & Nathalie Makour 07/03 “C’est en toi que je me ressemble”
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