Poèmes Espace Poésie
Près de toi à Alexandra Je le reconnais, c’est toi qui avais raison Rien ne remplace la chaleur d’une maison Rien ne vaut la douceur de ta main dans la mienne Si je pars, ce sera à Venise ou à Vienne, Avec toi, sans meetings, sans projets, sans dossiers Sans ordinateur, sans contrats à négocier … Lire plus
Les uns ont tous les droits Les autres n’en ont aucun Les puissants font la loi Se comportent en requins Elle est universelle Ne cessent-ils de crier Alors qu’elle est partiale Comme vous le voyez Les pauvres comme l’agneau Poussés à l’abattoir Ne peuvent dire un mot Allant vers le mouroir Quelle justice injuste Et … Lire plus
, Alors que la nuit doucement s’étire Et que tout semble paisiblement dormir Assise sur le lit, exhalant de nombreux soupirs Je commence à écrire Pour que cette plainte Se transforme en chant d’amour Et que sous l’étreinte J’oublie que je souffre toujours. J’oublie un instant cette douleur Et laisse affluer tout ce bonheur Que … Lire plus
Trente ans après… Malgré le temps passé, j’ai reconnu tes yeux Toi tu sais regarder, apercevoir les cieux, Cachés au fond de nous, c’est pourquoi je t’aimais C’est quelque chose de doux que toujours tu offrais. Je vois, rien n’a changé tu es resté le même Cet homme attentionné qui savait dire “je … Lire plus
Par un vent d’Est il est pour le test de Limonest et du Mont d’Est contre la peste sans restes mais tout leste pendant la sieste
La tristesse du soir m’a offert ce chagrin, Qui fortifie la faim et appelle l’ennui, Puis il faut convenir qu’il est bien importun, De cette peine aimée mon soleil en reluit. Je vous aime ma mie, de vous voir si comblée, Votre dernière lettre est restée sans appel ; Si mon griffonnage vous déplaît, avouez ! … Lire plus
Portrait d’une miss à Christelle Elle a de beaux cheveux blonds Ondulés comme les vagues Qui viennent rouler le long Des rives de Copenhague Elle a des yeux qui fascinent Et l’on voudrait y plonger Comme dans une piscine, Au risque de s’y noyer S’il avait pu la croiser Au milieu de ces vallons Balzac … Lire plus
oh ma douce, je te pousse sans pousses avec mon pouce sur la mousse avec la Rousse sans Larousse ni trousse pendant que tu tousses dans la brousse et bouffes ta touffe de moufle !
Pas besoin de visa Pour me jeter dans tes bras Juste un simple passeport Et la chaleur de ton corps. Si tu n’avais pas été là Que serai-je devenue ici-bas Prisonnière de ces souvenirs Qui m’empêchaient de dormir Avant toi c’était une autre histoire Pleine de joie et de déboires Un véritable et magnifique amour … Lire plus
Une amertume griffonne ses mots Une amertume griffonne ses mots, Ses maux sont touchants Ils se glissent dans les fibres d’une salive Rebelle et amère, le temps compatit. Le moment observe sa plaie, Elle est ouverte et saignante, Les souffrances multiplient Leurs atomes combattants. Le soulard veut omettre, Sa tristesse accablante, Elle … Lire plus
Le bal des débutantes L’orchestre va jouer Une valse de Vienne La gorge un peu nouée, Les jeunes se souviennent Des pas qu’ils ont appris Et longtemps répétés Deux par deux, ils s’installent Aux endroits désignés Au centre de la salle La grande horloge sonne Les couples se préparent Le chef d’orchestre donne Le signal … Lire plus
Matin d’été. Sous le soleil ardent qui réchauffe la terre On peut voir les enfants jouer dans la lumière, Et tous leurs cris joyeux amusent leur grand-mère Dans l’allégresse du jeu ils soulèvent la poussière. Le chien du vieux marin qui veut jouer aussi Veut mordiller les mains des gamins qui en rient, … Lire plus