Il y a pourtant des soirs pluvieux
Bien blottis sous la brune frondaison,
Où comme ultime espoir, nos yeux,
L’autre drapé d’anonymat, chercheront
Le désir ardent d’entrevoir l’inconnu,
Tel l’éphémère pris dans la lumière
Qui va donner sa vie sans être déçu
Je ne regarderai plus en arrière
Je serai figé en toi dans un bel élan,
Pour mieux sentir ma force vivre,
Tu te raidis, tout ton être me prend
Au plus profond de toi, je suis ivre
Sur les rives dorées de l’abandon
Las, nous aurons perdu nos peurs
Enlacés, devenus plus qu’un frisson
Dans un écrin, scintilleront nos cœurs
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Superbe !
Beaux écrits, merci du partage! Colette
Bienvenue Eliot et belle introduction poétique !
Nous avons hâte de découvrir vos autres textes…
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Bonne continuation et au plaisir.
bien à vous,
Alain