Fatiguée par la douleur
Fatiguée par mon malheur
Elle me manque ma fleur
Encore mes yeux la pleurent
Mais je me suis égayée au cimetière
J’ai fêté son anniversaire
Fatiguée par la tristesse
Fatiguée de perdre ma forteresse
Elle me manque trop ma princesse
Je pense à elle sans cesse
Mais rendez-vous de jeudi je l’maintiens
Et ça me fait grand bien
Fatiguée par ma grosse peine
Fatiguée par le chagrin dans mes veines
Elle me manque celle qui m’dit ma reine
Elle me manque ma belle sirène
Mais le vingt et un il a fait beau
Avec Emna j’ai mangé un délicieux gâteau
Fatiguée par souffrir
Fatiguée de perdre mon sourire
Mon adorée a dû partir
Et cœur la pleure à ne pas en finir
Mais jeudi j’ai siroté un café
Avec mon bébé ma jolie fée
Fatiguée par les réveils sans espoir
Espoir de l’entendre ou de la revoir
Sans ma fille je n’ai plus le vouloir
La solitude me console j’aime m’y assoir
Mais jeudi vingt et un décembre
Était tout lumineux pas épineux pas sombre
Fatiguer par la chasse de la joie
Fatiguée par la vie sans mon choix
C’est dur qu’Emna n’est plus avec moi
Je reste debout car je garde la foi
Emna, la sirène et sa mère, la reine, deux fleurs, toujours dans nos cœurs malgré la distance lointaine ! Avec mes amitiés certaines, Ilef !
Bonjour Brahim , merci beaucoup , que ta semaine soit lumineuse et que cette nouvelle année te soit faramineuse
Merci infiniment Ilef ! Bonnes fêtes de fin d’année !