Au fil des temps…
Une brise d’hiver caressant son visage
L’aède silencieux contemple l’horizon.
Sous son regard les cieux, si candides et sages
Instaurent dans ses vers la valse des saisons.
Un Aether nuageux, par son ardeur lyrique,
Devient presqu’orageux, tel un ciel colérique.
Là-bas, un ouragan s’abat sur l’océan
Lorsqu’un vent élégant émet un bruissement.
Mais lorsque de l’hiver la froideur monotone
Enfin cède sa place au printemps renaissant,
Le chanteur et ses vers une ballade entonnent
Et retrouvent, fugace, un bonheur innocent.
Lors le fil du temps d’une trame pare l’univers,
L’aède pour nous plaire des mots rares s’accapare :
Ses profonds sentiments d’alexandrins se parent
Pour passions honorer en des égards divers.
Ainsi du naturel le poète rêveur
Romance la beauté par son art millénaire
Pour clairement chanter les états de son coeur
Préférant au réel le bel imaginaire.
Magnifique écrit un régale de te lire bisous tata . Valé
Merci pour ce moment d écriture
Au 11ème vers, entonne ne devrait pas être au pluriel?
Merci bcp
Oli
Bravo à vous pour ce délicieux écrit. Belle journée. IRIS
Très beau poème qui a du style et une grande richesse!
Bonjour bravo Marie superbe écrit.