Adieu Paris, adieu Honfleur – Colette Guinard

ADIEU PARIS ,ADIEU HONFLEUR Adieu Paris ville de mes amours Loin de toi ,je t’aimerai toujours Sur la rive déjà lointaine La seine, coule longue et incertaine. M’ offrant des nuances de couleurs Si sombres mais chères à mon cœur. Laissée là, dans cet état de tristesse A présent souvent je languis. Tu étais pour moi … Lire plus

Mes premières lettres d’amour – Anne Cailloux

Ménage de printemps, une clé USB retrouvée au fond d’un tiroir. Mes premières déclarations d’amour reçues par mail. Il y a si longtemps… Il a resurgi de ma mémoire, j’ai pris un coup, comme un uppercut. Je me souviens de son sourire carnassier, de son corps d’adonis et de ses mots qui m’ont donné envie … Lire plus

Une même ronde…qu’on ne rompt – Lucienne Maville-Anku

Se tiennent la main Le passé Le présent Le futur Dans une même ronde Dans un même lien Une corde à trois brins Qu’on ne rompt                  *** On se tient sa main On était On est On devient Dans une même ronde Dans un même lien Une … Lire plus

Poésie disparue – Colette Guinard

POÉSIE DISPARUE A quoi sert-elle si elle s’endort L’inspiration ne fait plus sensation Elle part à la conquête de l’inconnu Désolée de ne pas être reconnue Elle subit l’ironie du sort Ne plus lui porter attention. Le masculin serait-il encore le plus fort Son esprit est-il plus doué,difficile De lui accorder toujours le record Alors … Lire plus

Rester dans le présent, acrostiche – Lucienne Maville-Anku

          Rester dans le présent Rester dans le présent Est pour son bien-être déterminant S‘affranchir ainsi de craintes de demain Toutes elles nous dérobent à l’ici Et volent notre aujourd’hui jamais rendu Rester dans le présent Demain est grain de l’ici dans la main Active non passive être dans la réfexion … Lire plus

Des pommes pour le paumés – Christian Satgé

Petite fable affable sur des mots de Mark Twain   Dans notre verger, il est un pommier. Un pommier prospère s’offrant au premier Venu, qu’il soit un voyageur affamé Ou un quelconque vagabond assoiffé. Un aïeul le voulut ainsi. On a blâmé Cette idée de l’église jusqu’au café. Elle lui vint un jour d’hiver que … Lire plus