Paul, tu sonnes comme Personne, Tu nous renverses comme Peron, Quand tu grattes ta guibole sur ta Gibson, Nous on s’arrache les poils, on frissonne. Paul, Dis-moi comment tu déconnes ? Jamais rencontré Personne comme toi, Qui joue comme ça avec ses vingt doigts, Paul, laisses courir, t’ amuses et ça résonne ! J’écoutais du … Lire plus
La paix en ces jours incertains Pourrait être évanouie demain Elle existe dans les contes Racontés le soir aux enfants En les endormant Pour rejoindre les songes. . Les guerres, les révolutions, les attentats Partout dans le monde sonne le glas D’une paix éphémère Qui n’existe que dans les coeurs Des nations en pleurs … Lire plus
Sous les arbres chanteurs . Sous les arbres chanteurs, Je pose mes ailes rêveuses, Le soir s’habille d’une lumière Merveilleuse, le temps est cajoleur. . Les oiseaux se déplacent, D’un arbre à un autre Les moineaux chantent la mélodie, D’un moment magique on s’extasie. . Mes yeux sont éblouis, Sous le charme de la nuit, … Lire plus
(sonnet Pétraquien) La mort de notre monde (sonnet Pétraquien) Des papillons de jour glanant des boutons d’or Ou des fleurs de jardin c’est vraiment artistique, La nature, voyez comme elle est fantastique ?. Mais elle est éphémère en perdant son point-fort. La planète est instable à cause des humains Alors disparaîtra jusqu’au dernier … Lire plus
Surprise par l’arrivée de cet homme La jeune fille resta prostrée Devant ce gnome Il était géant Et se tenait debout Devant la porte Il avait mis ses gants Il deviendrait fou De cette nature morte Délicatement il détacha le tableau Il le mit sous une toile transparente Il était fou du beau Et voyait … Lire plus
Les beaux souvenirs réchauffent le coeur. Ce sont les seuls qui ont de l’importance. On peut biffer échecs et souffrance Mais gardons en mémoire le bonheur. —– Dans un port de la côte atlantique, On s’est rencontrés dans un bar. Nous gagnâmes une plage à l’écart : En octobre elle est désertique. —– Sur la … Lire plus
Petite fable affable Rue des bons Frères Bernardins,Un laideron et un blondin,Devant une porte cochère,Dans la lueur d’un réverbère,Se mangeaient à plein le bisou,Se faisant des gazous-grisousComme seul fait un véritableCouple qui va passer à table. Les petites sœurs du cœurDe ce coin, toute en rancœur,Quoique femmes qu’on dit « publiques »Se font filles … Lire plus