Non, je ne t’en veux pas de tous ces mauvais faux pas
Déjà ta vie s’en va et t’as le coeur qui bat
Aussi fort que le mien qui a dû grandir sans toi
Si je pleure tout bas c’est que j’avais besoin de toi
On aurait pu faire mieux qu’un seul week-end sur deux
J’avais que mes deux yeux pour croire au merveilleux
Si toi t’y pensais pas moi j’attendais que ça
A peine posé là tu repartais voir là-bas
Bien sûr je t’ai aimé mais si souvent cherché
A force d’espérer j’étais trop fatiguée
Je voulais juste un père qui aurait été fier
De fermer mes paupières en baissant la lumière
Dés lors c’est à ton tour de guetter mon retour
Et je fais le parcours parfois pour quelques jours
Mais c’est un inconnu qui habite dans ta rue
Un homme qui ne peut plus saisir une main perdue
Merci beaucoup, un père parfois compris, parfois admiré, parfois incompris….. Une liste d’adjectifs prore à chacun ! Le mien fut extraordinaire et pourtant, cette impression d’un manque, d’un pas assez, étant d’une famile nombreuse!
Merci pour ces beaux vers
Ol
J’aime beaucoup ce poème qui installe un suspens et nous laisse comme un sentiment d’amertume que nous avons déjà connu mais quelle belle mélodie qui sublime la mélancolie !
Très beau poème Martine, merci !
C’est si difficile de vivre sans avoir ces sentiments près de soi pour celui ou celle qui nous manque tellement.
Je parle en connaissance de cause . . .cette semaine j’ai croisé ma fille avec ses enfants et elle ne m’a même pas regardé . . .cela fait presque 8 ans que je ne l’a vois plus et je ne connais pas mes petits enfants. . .j’ai appris par internet qu’elle s’était marié . . .
La vie est parfois dure quand pour des riens tout bascule . . .