
Gagne l’artificiel
En masse du terrain
Est-on et n’est-on pas
Prétention d’apparat
Chacun pour lui choisit
S’il veut être et rester
Vrais en soi sans défaut
De ses imperfections
L’on est ou l’on n’est pas
Chacun très bien le sait
Si suis-je ne suis-je pas
Ne suis-je ne puis-je être
Si ne suis-je ne suis-je
L’emporte le courant
Sera-t-on entraînés
.
Ne peut être jour nuit
Ne peut être nuit jour
C’est toute une culture
D’être ou de n’être pas
Le blanc n’est pas le noir
Le noir n’est pas le blanc
Ici l’on se comprend
Je parle bien de tons
Les couleurs ne confonds
Vient-on d’un même endroit
D’une même cité
Lieu de diversités
.
Gagne l’artificiel
Du terrain tel un ciel
L’on est environnés
Rester nous appartient
Être en soi qui l’on est
Et pour soi le rester
C’est un vaste dessein
Résister au courant
Nous coûtera ce plan
Inconfort de combats
Se montrer résilients
À soi rester fidèles
Et ne se résigner
Si des valeurs s’effondrent
Peut ce fait effrayer.
Bonjour Lucienne,
To be, or not to be…
“Ici, l’on se comprend” en bonne compagnie,
Celle de la poésie.
Oui, “Résister, rester soi.”
L’IA n’a pas que de mauvais côtés…
Les infos qu’elle donne, il faut soigneusement les vérifier.
Cordialement.
G.L.