Ma vie en 1867 – Anne Cailloux

Paris, l’an de grâce 1867 Cher ami poète Je bénis à jamais, notre bonne fortune, nous permettant de vivre en ce siècle, nous offrant moult désirs en extase. Par mes mots, je vous quèris mon ami, car il se dit de bouche-à-oreille, que le boudoir de la fée brune, fera bombance le XV août de … Lire plus