Sous les derniers fracas de l’orage, l’après symphonie!
Le coup serré, balloté sous les rayons du soleil revenus fracassés.
Sous les derniers abattements sombres d’une nuit, l’après ténèbres.
La tête pleine, débordante de fourniment sous les premières chants de l’étourneau sansonnet arrivant de l’aube morose.
Sous les derniers froids sévères hivernaux, l’après platonique sol!
Les jambes chancelantes, flageolantes sous la fièvre du printemps malade, trop indisposé pour se découvrir.
Sous les derniers espoirs d’une épopée, l’après baroud!
Songe de l’après nuit orageuse, au cœur d’un hiver emphatique.
Poésie autant surréaliste que musicale !