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Si je ne m’aime moi
Saurais-je t’aimer toi
Chez soi d’abord dit-on
Commence charité
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Aimer l’autre d’abord
N’est-ce trop demander
Ne sera-t-on ainsi
Au plan d’égalité
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Va pencher la balance
De son même côté
Et finira-t-on donc
Par être en soi frustrés
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Aimera-t-on vraiment
Que si l’on s’aime soi
Ne saurait-on donner
Ce que l’on ne perçoit
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LMA, 13/10/25, 06:57
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"C'est en écrivant que j'apprends à écrire."
Je suis originaire de la Martinique, une des charmantes petites iles de la Caraïbe, et vis au Royaume-Uni.
J'écris depuis de nombreuses années, et ce sont les autres, dans un premier temps, qui par leurs nombreux encouragements et appréciations a la lecture de mes textes m'ont aidée à prendre conscience que j'avais des talents à valoriser.
Ce désir d'écrire et de mieux écrire qui niche en moi depuis l'âge de 15 ans n'a jamais cessé d'aller croissant. Aussi, j’expérimente que c'est le fer qui aiguise le fer, et que plus j'écris, plus je désire écrire, et apprends de la sorte à écrire en autodidacte, par le soupir, par le désir, comme un feu qui s'attise.
La Poésie elle-même m'enseigne, j'apprends d'elle et découvre plus de sa beauté et sa diversité en lisant et en appréciant ce que d'autres écrivent et expriment, notamment sur cette plateforme, terrain de partage et d'expérimentations où foisonnent tant de talents qui m'émerveillent. C'est une vraie galerie d'arts uniques.
J'écris et développe cet art d'écrire en cultivant ma relation avec la Poésie, 'bon pédagogue’ qui m'instruit et m'éduque, et l'écriture elle-même qui comporte aussi des vertus thérapeutiques contribue à mon développement personnel. Cependant, j'ai souvent désiré participer à des programmes de formation pour parfaire mes talents et la stylistique.
J'ai compilé déjà plusieurs recueils de textes poétiques que je souhaite "dé-confiner" pour les mettre à profit, partant du principe que ce que l'on partage, on le gagne, et ce que l'on garde, l'épargnant à l'excès, on le perd.
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Les questions qui se posent dans ce texte, sont “”rhétoriques”, et donc suscitant la réflexion. Comme le veut souvent ma poésie.
L’auteure ne se sent pas malainée, ou rejetée.
Plutôt, elle considère. Elle pense. Elle voit parfois certaines choses. Des réalités autour d’elle. Ce qui a été. Ce qui n’est plus. Ce qui vit. Ce qui revit.
L’auteure observe. L’auteure écoute. L’attente du silence en sa tente. L’attente des autres et leurs besoin dont il parle. Ce qu’ils disent. Ce qu’ils ne dise, et que transmet le silence.
L’auteure observe. L’auteure écoute. Elle s’écoute, et entend, Ce qui peut s’entendre du silence. dire, ces autres. Ces autres êtres. Ces oiseaux. Les oiseaux du ciel. Ils gazouillent. Ils vont. Ils viennent en ma pensée. Lui. Elles. Eux. Vous. Tous.
L’auteure observe. L’auteure écoute. Le silence. Et ses échos. Et elle s’approche. mieux d’elle-même. Du soi de son être. De l’être de son soi. Mieux, elle entendre. et écoute. qui parle ou ne parle.
L’auteure observe. L’auteure écoute. Et se voit…en le silence. Et la nature Vient. Car elle est. Elle pleure parfois. Ce qui se donne, elle le reçois. En le silence de la paix. Et son vacarme aussi, quand le cœur bat. En silence.
L’auteure observe. L’auteure écoute. Son cœur qui bat. Le silence est là. Tout doux. Et sa voix. Son amour s’entend aussi. Son amour pour elle. Elle le perçoit. il grandit. Il mûrit. Là. Sans faire de bruit.
L’amour est là. Et s’apprécie. Le temps est beau. La guerre n’est plus. La mort n’est plus. La nature vit. L’on est guérie. Pour soi..
Hier n’est plus. Cet hier. Cet autrefois.
…
Réflexion en l’ici de ce présent, en relisant mon texte de ce jour-lá : “Si je ne m’aime pas“.
LMA.
Bonjour Lucienne,
Beaucoup d’interrogations dans ta poésie.
Je l’entends.
Et, si tu te laissais porter, aussi, par les bonnes ondes qui existent pour tout un chacun.
Saisissons-les !
Cordialement.
G.L.