Dans le fond de son cœur gît un petit oiseau blessé,
Ce bouvreuil pivoine dont j’ai touché les ailes amputées.
Ô chant déchirant pourquoi n’avoir pas vu son assuétude,
son esprit cyanuré par l’enfance d’amère insollicitude.
Le parfum ordalique d’un flot d’amour sans tain
où sombre la galère d’une promesse qui s’éteint.
Se perdent les mots dans le venteux nord chemin
comme s’éloigne le tonnerre d’un adieu chagrin.
Aurais-je un jour dans ce temps inexistant
le geste, le mot, le regard d’aimer vraiment?
Assurément ! Dans l’inexistant, le regard d’aimer existe vraiment.
Je me répète, mais c’est joliment écrit.
Un poème plein de nostalgie, avec une question essentielle Comment aimer? En écoutant son coeur, en l’ouvrant comme une fleur, dans son battement éternel. Cath
Merci pour vos partages poétiques et vos échanges sur le site.
Il faudrait corriger votre présentation auteur avec une faute de frappe…
Bonne continuation et au plaisir de vous lire à nouveau.
Bien à vous,
Alain