Au creux de mes reins, un poème liquide s’est déposé.
Ondoyant comme une caresse
Il dépose des mots d’amour et de désir
Tracés en gouttes scintillantes.
Une symphonie envoutante
Qui éveille les sens endormis.
Son pouls résonne comme une symphonie
Comme un orchestre en plein élan
Wagner guide leurs pas dans cette nuit envoutante.
Le liquide coule, s’infiltre et se repend
Comme une rivière de passion.
Chaque goutte raconte un rêve
Un soupir en suivant les courbes du corps,
Il enlace les formes, les caresses et les sublime.
Sous la caresse de ce poème liquide
La peau frissonne comme une fleur au soleil
Les lèvres s’entrouvrent dans un soupir,
Wagner a disparu.
Les envies deviennent incontrôlables
Les étreintes deviennent enflammées
Les âmes vibres, l’amour résonne
Comme une guitare électrique.
Le médiator se dépose sur le bout du sein.
Led Zeppelin n’est plus très loin.
L’amplificateur résonne, la voix devient érotique
Le tempo devient plus rapide.
Ses envies grondent comme un solo de batterie
Faisant trembler les fondations de mon harmonie.
Chaque battement de cœur, résonne comme une basse
Dans cette symphonie endiablée
Où la passion s’embrasse, électrisant notre univers.
Dans le creux de ses reins,
Le poème liquide a trouvé sa demeure
Sur un air de Stairway to Heaven
Merci pour cette symphonie poétique absolument magique !