En attendant la nuit
Je plonge dans un ennui
Dans une nostalgie
Une mélancolie
La pénombre envahit
Cette pièce où je suis
Bientôt plongé dans le noir
Il me semble appercevoir
Ce mal qui me prend le soir
Qui trop souvent vient me voir
Et me mène à l’abattoir
Me frappe tel un assomoir
Ma nuit s’annonce terrible
Cette peur indescriptible
Qui déjà est perceptible
M’angoisse et me prend pour cible
Fantômes guerriers invisibles
Tueurs d’une armée invincible
Blotti au fond de mon stress
Seule victime de ma faiblesse
Noyé dans une tristesse
Préambule à ma détresse
Des harpies déjà m’agressent
Hargneuses comme sont les diablesses
Devoir attendre jusqu’à demain matin
Et voir le Soleil se lever enfin
Sortir de cet univers de chagrin
Pour voir le jour que je voudrais sans fin.
Le soir viennent les larmes
Et le matin l’allégresse
Point à l’horizon
Comme un Soleil levant
Il se lève pour toi
Il se lève en toi
Et te chante de l’espoir
Une mélodie dans ton soir
Si la source de nos angoissrs sont identifiées, on est en position de vainqueur.
Notre ennemi est démasqué. On a plus qu’à se revêtir de la bonne armure.
Puisse la lumière t’environment.
je m’excuse pour la faute de frappe ,ma vue me joue des tours c’est guette et non pas guelte
la nuit n’a que 12 heures , dormez déjà 8 heures il ne restera que 4 heures à attendre le jour pour embellir vos 12 heures dans la lumière :à écrire, à construire vos maquettes et à chercher des conquêtes mais attention madame vous guelte
Un joli poème. La nuit, quelle que soit la durée, suivie du jour, du soleil, de l’espoir et de la joie.
Merci du partage.