L’école était un phare d’éducation d’abord et les professeurs étaient ses lampes qui défient toutes les vagues de ténèbres féroces et agitées qui veulent nous vaincre et qui nous guettent pour s’attaquer à nos petits esprits.
Nous étions de petits anges avec de grands rêves.
Nos mains étaient petites mais très tendres et généreuses. Nos esprits faisaient demain entre les lettres et les chiffres.
Nous étions brillants et le sommes toujours.
Nous étions de petits hommes et de vraies femmes.
Petits pas en avant, cœurs ardents, fraîcheur d’âme.
Fatigués, affamés, épuisés par le froid.
Des princes du livre et pour le Bic nous étions des rois.
Malgré tout ça, tout autour de nous était beau.
Jamais éteints, nous avons été des flambeaux,
L’espoir était clair entre nos mains et autour,
Le défi était et nous définit toujours.
Nous étions en compétition entre les pages,
L’éducation était avant l’apprentissage.
Devant la rigueur du bâton, nous étions sages.
Face au dur temps, distingués par notre courage.
Petites mais généreuses, c’était nos mains.
Nos rêves nous les partagions dans les dessins,
Entre les phrases et les chiffres, nous faisions demain.
Le succès, nous préservions toujours son chemin.
Merci pour ce beau poême sur une époque hélas révolue ….
belle journée à vous.
Quelle douce tendresse, merci
Vraiment très beau.
“…l’école…un phare… les professeurs…des lampes…”
Merci, Saber, pour ce partage.
Un beau témoignage…
Oui , poème billant par un poète brillant.
Merci cher Saber pour ce joli partage et passez une bonne soirée.
Ce poème est brillant Saber… 👨🎓