La Muse :
« Poète, tu n’écris plus,
Suis-je pour quelque chose ?
Jamais je n’aurais cru
Qu’un jour j’en serais la cause.
Je ne t’ai jamais quitté,
Je sais, tu ne me vois pas
Mais je n’ai pas regretté
D’être toujours près de toi.
Mon inquiétude est apparente
Tu es là pourtant, je te vois
Mais demeure toujours confiante :
Que de crises sévères
Malgré l’hostilité
Ont été éphémères
Et se sont effritées !
Le Poète :
Ô charmante compagne,
Ô Muse, ô égérie
Je franchirai les montagnes,
Chevaucherai les prairies
Sans cris et sans regrets
Connaissant ta bonté
Plutôt mourir,
Que te voir me quitter !
Ma plume vient butiner
Dans ton jardin secret
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Merci pour le partage de ce bel hommage !
1, 2 ,3…
Un bel hommage à votre égérie qui est dans votre plume et sonne l’espoir qu’elle ne vous quitte pas. Ce serait effroyable pour votre poésie…
Mes amitiés poétiques.
PatKadéka
Sans cris et sans regrets
Connaissant ta bonté
Plutôt mourir,
Que te voir me quitter !