L’enfant prodigue – Olivier Gatin

Je vais ou est-ce déjà conclue en fait

Puisque je m’écris la réponse qui l’à

Tout c’que je sais oh pas grand chose

C’est que j’ai soif et faim des autres

 

Mais les gens ne s’intéressent pas à moi

Moi qui suit la dans la’peine du monde

Dans les rues de la ville sans parents

Et j’ai mal et j’ai froid et ils m’ont oublié.

 

Ah va ! Ce n’est pas grave puisque je m’écris

Et que je donne des coups qui me donne la Foi

Je voulais être une force’de la nature admirable

Mais je suis en mon for ce monstre vénérable- poète!

 

Beurk, j’aime pas c’mot pas c’soir pas si facile

Glue visqueuse qui’me colle à la peau

Elle dit ’’ alors tu es poete’’ non un idiot

Un idiot qui boit donc un idiot dangereux.

 

C’est ma réponse toujours identique

Quelque soit’la femme que je vois

Pour mes congénères masculins

Ma reponse est la suivante,

Je la tire de la tendresse de v. MAÏAKOVSKI

 

Mon brave il vaut mieux pour tout le monde

Que je sois poète parce Qu’avec mes mains

De loip’garou je pourrais’te briser la nuque

Ça fait’rire et c’est honnête j’ai des mains à charrue

 

Poète prophète pomme de pin et pain qui lève

Leur des boulangers je traîne mon ombre

Monument de guerre en ravalement publique

Je me glisse dans les échafaudage pour m’abriter

 

Le monument’est une vieille’eglise’’romane

Et mon cœur nomade est la dormant les’yeux ouverts

Les étoiles brillent la nuit partout s’étire

La lune à mon goût est trop petite il va pleuvoir

 

Je n’ai plus pleurer depuis’longtemps comme sec

Mais je reste un tueur sensible un criminel amoureux

Je fuis envers et contre tout la raison de ma vie

L’amour l’amour mal appris durement violent sourd

 

Alors je m’écris en silence dans ma couverture

C’est la couv’ de la croix rouge des maraude d’hiver

Je suis mal mais je me’remplis d’un vin de vigueur

Et je dors presque je veille’comme une gargouille

 

La bete humaine! Voilà mon drôle de rôle

JE m’écris et j’ai un’tas d’histoire à vous dire

Parce que maintenant je suis dans mon chez moi

Et je respire ma liberté et pourtant…

 

La’nuit’dernière jai’préféré dormir à,même le sol

Comme rassuré les gens sont devenus tous fous

Mais ni par déni ni par peur ou duperie ou faute

Simplement’ils sont ignorant et ce sont des mauvais’fidèles

Tout comme lhomme’d’église qui claque la porte’de’la chapelle

 

Le soleil d’un coup,s’est levé je lavais’pas vu venir

Je me sens d’un autre’monde où rien n’est sûr solide

Pérenne ou acquis les plus’fort se suicide dans’la rue

Et moi’bah je vis maudite force de la nature …

 

Me reste à partir’c’est mon seul moyen de continuer

Mourir’dans les yeux du’chaland disparaître

Renaître ailleurs meilleur’de’lavoir’vécu

Je vous promets je’dormirai ce petit matin dans mon lit.

 

Plus une chanson ia qui a rien à voir mais que je voulais partager le texte chanter est écrit par moi et la musique arrangé par suno ia

Question subsidiaire : que pensez vous de l’ia dans la musique ou l’image…? Merci de votre attention.  Parce que ça,m’aiderai beaucoup pour mes prochains projets d’avoir vos retour positifs négatifs incertains ou parfaitement tranchés.

Bonne semaine.

Jai lu pas mal de texte ici, ce soir voilà ma contribution

Olivier Gatin

Olivier Gatin (120)

bonjour, j'ai 43 ans je suis artiste poète et slameur depuis bien 15 ans, j’écris beaucoup, j'aimerai participé ici au groupe d'écriture et mettre en avant mon blog autour de mes écrits, de la musique de mes diverses lectures... au plaisir de vous lire
www.moonz.canalblog.com et le lien vers mon recueil Re-présente: https://drive.google.com/file/d/10qtXsGH8gT3x5lGtKcrTp4_FO-TnISsv/view?usp=sharing

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Gérard Lepoutre
5 novembre 2025 10 h 23 min

Bonjour Olivier,

Rassure-toi, tu n’es plus tout à fait seul.
Tu es en bonne compagnie sur Plume de Poète,
Le site que tu as librement choisi.

L’on souhaite être ” une force de la Nature admirable”.
Et,
L’on vit une Condition Humaine.
Tout le Monde en est là,
Même, s’il ne l’avoue pas.

Tous, nous soutenons une croix,
Massive ou pas,
Tous, Nous devons assumer une Vie
Pour le Meilleur
Et le beaucoup moins bon.

Tous, j’en ai la conviction,
Sans se le dire,
Nous survivons.

Alors ?
Pourquoi ne pas écrire ?
Pour panser,
En partie, des plaies ouvertes.
Et,
Ne pas sombrer.

Se relever,
Ne pas désespérer,
Toujours contre l’adversité,
Se relever.

Olivier,
Continue à écrire,
J’entends ton cri,
Nous te lirons.

Tu témoignes,
Tu es un passeur de Vie,
A ce titre,
Rien,
Absolument Rien,
Tu ne peux détruire.

Cordialement.
G.L.