Je vais ou est-ce déjà conclue en fait
Puisque je m’écris la réponse qui l’à
Tout c’que je sais oh pas grand chose
C’est que j’ai soif et faim des autres
Mais les gens ne s’intéressent pas à moi
Moi qui suit la dans la’peine du monde
Dans les rues de la ville sans parents
Et j’ai mal et j’ai froid et ils m’ont oublié.
Ah va ! Ce n’est pas grave puisque je m’écris
Et que je donne des coups qui me donne la Foi
Je voulais être une force’de la nature admirable
Mais je suis en mon for ce monstre vénérable- poète!
Beurk, j’aime pas c’mot pas c’soir pas si facile
Glue visqueuse qui’me colle à la peau
Elle dit ’’ alors tu es poete’’ non un idiot
Un idiot qui boit donc un idiot dangereux.
C’est ma réponse toujours identique
Quelque soit’la femme que je vois
Pour mes congénères masculins
Ma reponse est la suivante,
Je la tire de la tendresse de v. MAÏAKOVSKI
Mon brave il vaut mieux pour tout le monde
Que je sois poète parce Qu’avec mes mains
De loip’garou je pourrais’te briser la nuque
Ça fait’rire et c’est honnête j’ai des mains à charrue
Poète prophète pomme de pin et pain qui lève
Leur des boulangers je traîne mon ombre
Monument de guerre en ravalement publique
Je me glisse dans les échafaudage pour m’abriter
Le monument’est une vieille’eglise’’romane
Et mon cœur nomade est la dormant les’yeux ouverts
Les étoiles brillent la nuit partout s’étire
La lune à mon goût est trop petite il va pleuvoir
Je n’ai plus pleurer depuis’longtemps comme sec
Mais je reste un tueur sensible un criminel amoureux
Je fuis envers et contre tout la raison de ma vie
L’amour l’amour mal appris durement violent sourd
Alors je m’écris en silence dans ma couverture
C’est la couv’ de la croix rouge des maraude d’hiver
Je suis mal mais je me’remplis d’un vin de vigueur
Et je dors presque je veille’comme une gargouille
La bete humaine! Voilà mon drôle de rôle
JE m’écris et j’ai un’tas d’histoire à vous dire
Parce que maintenant je suis dans mon chez moi
Et je respire ma liberté et pourtant…
La’nuit’dernière jai’préféré dormir à,même le sol
Comme rassuré les gens sont devenus tous fous
Mais ni par déni ni par peur ou duperie ou faute
Simplement’ils sont ignorant et ce sont des mauvais’fidèles
Tout comme lhomme’d’église qui claque la porte’de’la chapelle
Le soleil d’un coup,s’est levé je lavais’pas vu venir
Je me sens d’un autre’monde où rien n’est sûr solide
Pérenne ou acquis les plus’fort se suicide dans’la rue
Et moi’bah je vis maudite force de la nature …
Me reste à partir’c’est mon seul moyen de continuer
Mourir’dans les yeux du’chaland disparaître
Renaître ailleurs meilleur’de’lavoir’vécu
Je vous promets je’dormirai ce petit matin dans mon lit.

Plus une chanson ia qui a rien à voir mais que je voulais partager le texte chanter est écrit par moi et la musique arrangé par suno ia
Question subsidiaire : que pensez vous de l’ia dans la musique ou l’image…? Merci de votre attention. Parce que ça,m’aiderai beaucoup pour mes prochains projets d’avoir vos retour positifs négatifs incertains ou parfaitement tranchés.
Bonne semaine.
Jai lu pas mal de texte ici, ce soir voilà ma contribution
Bonjour Olivier,
Rassure-toi, tu n’es plus tout à fait seul.
Tu es en bonne compagnie sur Plume de Poète,
Le site que tu as librement choisi.
L’on souhaite être ” une force de la Nature admirable”.
Et,
L’on vit une Condition Humaine.
Tout le Monde en est là,
Même, s’il ne l’avoue pas.
Tous, nous soutenons une croix,
Massive ou pas,
Tous, Nous devons assumer une Vie
Pour le Meilleur
Et le beaucoup moins bon.
Tous, j’en ai la conviction,
Sans se le dire,
Nous survivons.
Alors ?
Pourquoi ne pas écrire ?
Pour panser,
En partie, des plaies ouvertes.
Et,
Ne pas sombrer.
Se relever,
Ne pas désespérer,
Toujours contre l’adversité,
Se relever.
Olivier,
Continue à écrire,
J’entends ton cri,
Nous te lirons.
Tu témoignes,
Tu es un passeur de Vie,
A ce titre,
Rien,
Absolument Rien,
Tu ne peux détruire.
Cordialement.
G.L.