Nos lettres, langues affines
Tracent des lignes de sel et d’écume
Texture de champagne ravalée de sable
Et de chants, slams et phonèmes
Les Faux n’aiment pas les êtres de vérité
Mais elle-même tape sur les falaises
Exsangues de Grès, rivages de chair
Granits mortifiés des lames incendiaires,
Des ondes qui démantèlent, furieuses marines
Et s’enivrent des parois abandonnées aux embruns,
Parfums du fond de mer, regards de cobalt
Et de ce que tu dissimules en toi, Corail
Rouge et sans triomphe de tes humeurs
Sanguines et salines commissures
Sans te commettre, depuis tes lèvres à tes amours
Ancêtres et jusqu’à l’heure de celui qui gît-là.
Lausha
Encore un bien joli texte Lausha.
J’aime beaucoup votre écriture, votre style, avec de beaux clichés qui donnent envie de poursuivre la lecture.
Merci pour vos partages.
Bien à vous,
Alain