Le carmin flamboyant
Le carmin incendiaire
De ta chaleur est enjôleur,
Une braise dans les airs de fer
Ton éclat à toute heure.
Voyageuse jusqu’à la candeur
D’une harmonie dansante,
D’une harmonie dansante.
Ombre d’or, ombre de rêve,
Errante de l’espoir brisé,
Tu es la sainte, l’éthérée,
Dans la mer des passions,
Bleu comme une peinture qui renaît,
Là où nos esprits s’envolent,
Là où nos esprits s’envolent.
L’horizon troublé
S’efface doucement,
Au gré des métamorphoses,
Emporté par le vent.
Un long combat furieux,
Des rounds et des rounds
Avec et contre le temps,
Pour l’audace d’un règne,
Sur des mers de diamant,
Le soleil dans l’esprit de Paris
Et tu es mon or émouvant.
Tu es ma elle, une déesse,
Aux charmes exquis,
Régnant sur ma vie,
En de douce mélodie,
À jamais, mon éternité,
Est ton velours de feu, ma vérité,
Là où tu me fais rêver
Là où tu me fais rêver
Bonne bombe d’innocence,
Étoile filante, mon cher ange
C’est bleu comme une âme qui renaît,
Bonne beauté qui s’élance,
Bonne beauté qui pense
Bonne beauté qui se plante,
D’une harmonie dansante,
D’une harmonie dansante.
Des mots qui voltigent telles des volées d’oiseaux
Des mots qui crépitent comme des feux crépitants
Des mots qui vont et viennent et s’enlaçent sans se lasser comme des vagues de la mer en houle
Des mots qui s’embrassent et qui se baisent
Les voit-on
Les entend-on
En disent-ils tant
Et s’y cachent des mystères de cœurs
Que l’on voudrait pouvoir décoder.
Ce sont ces pensées spontannées que m’inspire votre texte poétique.
Merci pour ce partage.
Un grand merci Lucienne pour ce petit poème que vous me transmettez. Bonne journée. Patrice