Le bon rythme !
Il est devenu clair
Que le diable est sur Terre
Pas de marche arrière
Pas même pour ce qui relève de la guerre
Que des perspectives
Ignorant que la planète ne peut plus longtemps cacher la fragilité de ses rives !
Un ensemble à faire frémir
Tous les enfants conscients du délire ambiant
Alors qu’espèrent-ils
S’ils ont appris que le soleil est lui aussi un péril ?
Copiant ces ados extraits de leur natale Amazonie
Pour embrasser les fanatismes de l’Occident qui tous auront marqué le siècle précédent !
Et, in fine, si nombreux à se suicider
Incapables de surmonter leurs trop profondes contrariétés…
Chère humanité
Par le vent de l’histoire tu t’es ainsi laissé illusionner, pour trop vite évoluer…
Et le plus triste est qu’en toute conscience
Tu n’as toujours pas commencé à réagir à cette évidence !
Pire, on en a le tournis
Et on n’est qu’aujourd’hui !
Photo : Bruno Ignace Barbé
Ayant dépassé 80 ans, Rémi Guillet voit dans son rétroviseur 40 années consacrées à la recherche de chemins pour améliorer l’efficacité énergétique et écologique de la combustion des énergies fossiles et a souvent publié les résultats de ses travaux, travaux jamais véritablement abandonnés puisque l’hydrogène a récemment pris le relais dans ses préoccupations consacrées à ce thème.
Sa retraite venue au début des années 2000, il entreprend également des travaux universitaires « pour plus d’équité dans le partage des richesses produites par l’économie libérale ».
Dans le même temps, il consacre une part de ses activités à diverses formes de bénévolat, en associations ou en EHPAD et développe à cette occasion une méthode en aide à l’apprentissage de la lecture de la langue française.
En 2015, il écrit ses premiers ouvrages « littéraires » et son premier poème intitulé « Merci à nos sens » … (Cf. Rémi Guillet / Ed. Mers du Sud).
Voir (/ NET) "Rémi Guillet bibliographie" pour accéder à l'ensemble de ses publications.
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