Oui je t’aime un peu de tout mes sens
Et voilà que tu éveilles ma sensualité.
C’est compliquer de vivre la romance
Avec un rêve, une muse si tant affolée.
Si un jour tu délaves mes caresses,
J’en comprendrai tout les soupirs.
Et si tu reviens hanter mes souvenirs
je ferai tout pour qu’ils renaissent.
Nous sommes le début et la fin.
Cet un prologue muté en épilogue.
Une idylle, une satire dans ce jardin.
Là où pousse un semblant de dialogue.
Tu vogues maintenant à la dérive.
Je me suis perdu dans ton sillage,
Que de sombres pensées ravagent.
Avec d’heureux moments qui ravivent.