
Je me relève le moral, je choisis photos joviales……
Je n’use plus mon instrument musical
Mais j’use mon instrument Amical
Mais j’use mon instrument cordial
Face à mon destin fort triste, fatal
L’instrument de mon cœur m’est vital
Mon chagrin est si épineux
Mais cœur garde son jardin lumineux
Il a des rosiers faramineux
Absence de grains haineux
Main de cœur ne sème pas l’vénéneux
Le vingt-sept janvier est un jour noir
Depuis larmes n’ont pas cessé de pleuvoir
Mais je me nourris toujours d’espoir
HAMZA ET ZAK j’espère très fort les revoir
Cette pensée n’cesse d’m’émouvoir
Oui depuis cet horrible hiver
Ma tristesse est énorme est trop sévère
Mais mon cœur il persévère
Il aime toujours ses trésors, son univers
Il aime le rouge le bleu l’vert
Je n’ai pas pu sortir de ma torture
Mais je trouve petit refuge dans l’écriture
Je l’trouve aussi dans la nature
Je l’observe et j’me plonge dans sa lecture
J’admire sa patience si mature
La joie et moi on n’arrive pas à s’accorder
Le sourire vient rarement m’aborder
Mais l’amour n’a jamais arrêté de déborder
Quand peine dans mes vers n’cesse de rôder
L’amour vient s’y glisse pour les broder
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Bravo, Ilef, pour toutes ces qualités dont je n’ai jamais douté : tu as gardé ta force de caractère et ton réalisme qui te permettent d’avoir comme compagnons l’espoir, la lecture, la nature, l’estime, le respect et l’amitié de tes compagnons virtuels ! Merci pour ce partage qui encourage !
Cordialement.
Brahim