Quand moi hier je pleurais
Tu m’as ouvert ton toi
Une nuit de billets
Tes baisers furent plus doux
Qu une fleur au réveil
Ton corps vibrant, excitant
Tes yeux éblouissants
Tu es là aujourd’hui
Quand moi je me réveille
Je suis là dans ton lit
Et tout nous émerveille
Tu avais le cœur plus chaud
Qu’une pierre en plein soleil
Tu respirais les mots qui venaient du ciel
Ton heure n’est toujours pas venue
Pourtant tu la guettes encore?
Ta déesse aux seins nus
Ta belle aux cheveux d’or
Tu as mal de ce manque
Tu as soif de tes horreurs
Tu voudrais dévaliser la banque
Mitraillette au grand cœur
Tu ne veux rien écouter
Et pourtant mon ami tu as peur
Ta vie n’à rien de loupé
Tu es là et resteras un enfant du bonheur
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Pour un ami très cher Drifa Rahmoune
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J’ai beaucoup aimé la spontanéité de l’expression débordante de sincérité…
Merci pour ce savoureux partage !