en acrostiche
Et dans ce flot de l’etcetera de l’etcetera de lumière d’etcetera de paix, l’être de l’être de l’être se perd pour mieux se retrouver dans ce bain de baptême d’etcetera de sérénité de lueur d’etcetera de bonheur…
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Transformé dans l’être de l’être de l’être transporté et bercé dans l’etcetera de l’etcetera de flot de jet d’etcetera de plaisir d’etcetera de bonheur d’immensité de d’océan de fleuve d’éternité…
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Ce fleuve de lueur d’etcetera de jets de l’etcetera de l’etcetera de paix emplit et enveloppe l’être de l’être de l’être assoiffé et l’apaise de maux profonds en l’être de son être meurtri qui guérit…
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Embrassé et brassé dans ce doux bain de l’etcetera de chaleur de lumière et de l’etcetera de lumière de chaleur d’etcetera de plaisir de l’être de l’être comblé en son être élevé en profondeur de hauteur…
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Transfiguré dans ce transport, l’être de l’être de l’être plongé et baigné dans l’etcetera de l’etcetera de l’etcetera de plaisir de l’etcetera sans fin qui le panse de ses plaies et le soulage de la douleur de ses blessures…
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Et envahi et confondu dans l’extase de ce flot d’etcetera de lumière et de paix, l’être de l’être de l’être se réjouit de ce bonheur de l’etcetera de plaisir de plénitude d’etcetera dont il jouit et se sent accompli et irradie…
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Revitalisé et réjoui est l’être de l’être de l’être épanoui dans son etcetera de bonheur de paix infinie d’etcetera de complétude et de prélude sans fin de genèse et sans genèse de fin de commencement d’éternité…
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Alors de degré en degré d’intensité de ce flot d’éternité d’etcetera de bonheur, l’être de l’être de l’être exulte de joie et s’écrie en des soupirs d’écho de silence et de silence d’écho de soupirs de cris d’etcetera de flot de bonheur
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Ô doux flot de feu d’etcetera d’etcetera de fleuve de lumière et d’etcetera de paix, consume-moi et que s’embrase de la tête aux pieds mon être d’extase sans fin d’etcetera de paix d’etcetera de sérénité !
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Ô crie mon silence qui se tait dans cette jouissance d’etcetera d’etcetera de lumière et de paix qui m’éblouit ! Et ne m’importe si je perds mes repères dans ce flot des flammes de ton océan d’etcetera de sérénité de paix d’infinité….
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©️Lucienne Maville-Anku, 28/01/22, 20 :15
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