Cœur pleure et l’amour y demeure
Aube
Chaque jour tu t’habilles d’une nouvelle robe
Belle ?
Oui sauf celle du vingt-sept janvier, si cruelle
Aurore
J’ai toujours célébré ton premier rayon d’or
Encore ?
Non, j’ai peur depuis la mort de mon trésor
Dimanche
Pour revenir comme toujours tu t’amanches
Douloureux ?
Oui depuis que tu as rendu cœur malheureux
Janvier
Je n’t’ai jamais blâmé, ni à moitié ni en entier
Pourquoi ?
Car tu m’as donné Youssef une précieuse joie
Te vilipender ?
Non, ma poésie n’a jamais osé te bombarder
Et ce bien que
Tu m’aies assassinée avec féroce matraque
Soleil
Le monde entier t’adjective comme merveille
Moi ?
Oui, tu es chaleureux, sans EMNA il fait froid
Amour
Tu n’as besoin ni de preuves ni de concours
Si j’t’aime ?
Oh oui, tu es présent dans ma peine suprême
Tu es lumière
Tu m’offres un intense bonheur au cimetière
Tu es sur terre
Tu es au ciel en mer tu es sans nulle barrière
Les mots me manquent par cet extrême ressenti qui se dégage de ce texte tellement beau et triste à la fois.
Je suis toujours bouleversé par tes poèmes mon amie…