Au travers d’une brume aux odeurs de putréfaction, l’équilibre précaire des appuis de souliers glanés, posés sur des os à la surface boueuse sanguine .
Survivant mais pas vivant à regarder les corbeaux libérés de tout complexe. Ces corvidés déchirent la brume pour ouvrir la porte de l’enfer et libérer les souvenirs impitoyables.
Bataille épuisée, cauchemars naissants sous l’emprise des mains encerclant le crâne veuf d’une espoir.
Les corbeaux reprennent possession de l’espoir vers le ciel en refermant la brume déchirée .