Sous le ciel tendre de Doha,
Où le sable murmure au vent,
Je marchais, l’âme ouverte aux pas,
Cherchant la mer, tout doucement.
L’horizon dansait en silence,
Bleu sur bleu, rêve sur lumière,
Le soleil, roi de l’innocence,
Peignait d’argent chaque poussière.
Les palmiers saluaient la brise,
Et les enfants, riant sans fin,
Faisaient des châteaux, des surprises,
Avec des seaux pleins de matin.
Un thé à la menthe, une datte,
Le goût du Sud dans ma mémoire,
Et l’appel du large m’épate,
Comme un poème sans départ.
J’ai vu Doha dans son éclat,
Port-miroir, entre sable et ciel,
Et dans cet art qui ne s’en va,
Mon cœur s’est fait un arc-en-ciel.
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