Tu as dû m’attendre Suis pas apparue, suis désolée Tu peux comprendre Pourquoi je m’isolais Tu as dû m’entendre Je te demande pardon Je n’ai rien à défendre Le mal qui me déchire dedans Tu as pu me rejoindre Au fond de mon cœur Tu as essayé d’éteindre Le feu de mon malheur Tu as … Lire plus
Toujours étonnée de la vague que je crée lorsque ma plume dépasse mes pensées. C’est lorsqu’on s’y attend le moins que se lève le rideau des délices. Ceux qui ont compté dans mes pas rayonnent autour d’eux une trainée de rires. Ceux-ci remirent de leurs maux, ceux émus par leurs mots, ceux levant la plus … Lire plus
Petite fable affable Loin des rumeurs d’une rue qui n’est plus diserte Et des échos de corridors, un brin bourru, Un yack, auprès d’une lamaserie déserte, Espère un astrologue, devin fort couru En ces contrées lointaines. Un mien comparse M’en a conté le cas comme, hélas, d’une farce. Et notre gros laineux faisait dévotion Avec … Lire plus
Je reconnais dit-elle que j’ai été fautive J’ai été rebelle et d’humeur maladive Je n’ai pas été sage J’ai été impulsive Je sais que c’est dommage pour l’éternelle captive Je la prends dans mes bras lui murmure à l’oreille Les mots qu’elle saisira tous ses sens en éveil Sur sa blanche page mon bel … Lire plus
Ma poésie passe La Poésie persiste © Lucienne Maville-Anku, 07/06/20,10:40
Ô ! Habilleurs du mal attention le fort vent, Il siffle une rage violant, bascule, Oh ! Le mal ça inspire insécurité !!! La silhouette malveillante cherche. Zut ! Le temps note ses instants horrifiés, ©Fattoum Abidi 18.6.2020.
Clichés d’hiver De l’horizon blanchi monte la luminance Du pays enneigé que la bise balaye Dont le souffle, luttant contre les éminences, Soulève des cristaux irisés de soleil. Les crêtes dentelées, charme du paysage, Sont maintenant gommées dessous la couche blanche. Les chênes sont grimés en spectres sans visage Recouverts d’écume qui leur suinte des … Lire plus
Des mots alcool Crient la révolte Cueillent souffrance Secouent l ‘ amitié. Des mots rabougris Musclent l ‘ espoir Goût du quotidien Dope longue vie .
Je m’étais endormi Comme chaque nuit Avec les fenêtres qui se secouaient Grâce au vent qui virevoltait Au bout d’un soupir Avec les yeux fermés pour dormir J’apercevais soudain un monde imaginaire Loin de ma maison et de mes frontières J’atterris dans un château fort et beau Et des invités, en nombre et par troupeaux … Lire plus